Depuis quelques jours sur les ondes du 93.3 lors de l'émission Bouchard en parle, on dénonce le ridicule de certaines dépenses gouvernementales. L'animateur a invité les auditeurs a fouiller les études de crédit dans les documents déposés à l'Assemblée nationale. (http://www.assnat.qc.ca/fr/travaux-parlementaires/documents-deposes.html) et a lui faire part de leurs découvertes.
Parmis les dépenses les plus fréquentes, on retrouve les différents voyages de nos fonctionnaires en esclavage, victime d'un système qui les exploite en les dépouillants de ce qu'ils ont de plus important : la fierté et l'honneur. Des dépenses de voyages pour des congrès, rencontres, réunions, colloques, symphosium et autres niaiseries. Seulement au Ministère de l'Éducation du Loisir et du Sport plus d'une dizaines de pages de dépenses de voyages autant au Canada, qu'un peu partout dans le monde, en Tunisie, en Afrique (vraiment des références mondiales en éducation...), en Espagne, aux Pays-Bas, en France, en Grèce et j'en passe.
Par exemple Claude Mailhot ainsi qu'un autre fonctionnaire essentiel au bien être des Québecois et surtout des patineurs artistiques se sont rendu à Beijing du 17 au 25 août 2008 pour leur présence aux Jeux Olympique. Total des dépenses : 27 444$ ! Par la suite, pour leur présence aux Jeux Paralympique du 9 au 18 septembre toujours à Beijing : 42 416$. Ou encore un autre important voyage : Une rencontre entre la délégation formée du Québec, du Nouveau-Brunswick et du gouvernement du Canada et le CNF afin de préparé le présence des trois équipes au Jeux de la Francophonie. Où ? Ottawa ? Québec ? Moncton ? Et bien non, plutôt à Beyrouth au Liban pour la modique somme de 4729$ de nos taxes et impôts !
Et bien ce matin une gentille dame travaillant dans une agence a téléphoné a Sylvain Bouchard en onde pour expliquer (preuve a l'appuie selon elle) un mode de fonctionnement très commun utilisé par les globetrotters du Gouvernement qui grâce à leurs nombreux voyages réussissent à augmenter l'indice de qualité de vie des Québecois... Une pratique qui consiste a gonfler de plusieurs centaines de dollars les soumissions pour les billets d'avions et hôtels... les fonctionnaires empochent ainsi la différence pour agrémenter leur voyages à Amsterdam, en Tailande ou autre destinations exotique...
La porte est grande ouverte pour se genre de manoeuvres parce-que la population en a rien a foutre ! Beaucoup trop occupé a écouter Virginie, Québec-Montréal et Big Brother. Faisant semblant d'être désintéressé de la politique «parce-que c'est tous des crosseurs» mais même pas capable de nommer leur Premier Ministre. Des gens qui pensent que pour allez en Ontario ça prend de l'argent américain ! Qui le weekend vont dans 3 épiceries différentes pour sauver 0.25$ sur une caisse de Wildcat. Des épais qui utilisent le web seulement pour commenter le statut Facebook de leurs amis qui on fait un tas de marde en forme de sourire photos a l'appuie.
Une société informée et consciente représente une menace pour nos gouvernements. Croyez-moi, ils ne doivent pas avoir très peur...
Réveillez-vous calisse !
Il y a 7 ans
Tiré du Journal de Québec... ça en dit long !
RépondreSupprimerLe ministère de la Santé enquêtera sur la formation intitulée Expérience de silence − révélée par le Journal − qui pourrait être considérée comme «douteuse», selon le ministre Yves Bolduc.
Hier, le Journal a rapporté qu’un membre de l’Agence de la santé de la Maurice et qu’une autre personne d’un centre de santé du Nord-du-Québec avaient reçu une formation au cours de laquelle les participants devaient garder le silence pendant deux jours et une nuit pour « réfléchir à ce qui leur importe vraiment à ce moment-ci de leur vie ». Cette activité a eu lieu en avril 2009, à l’Auberge Les Jardins intérieurs du lac, à Bromont. Elle a coûté 1 404,37 $ par personne.
« On peut trouver, sur les milliers de formations qui se donnent dans le réseau de la santé, certaines qui pourraient être douteuses », a reconnu le ministre Bolduc quand il a été questionné à ce sujet, hier après-midi, lors de la période des questions à l’Assemblée nationale.
Cela dit, « dans ce cas-ci, ça relève d’abord des Agences (de la Santé), et il y a une demande qui leur est faite de faire des choix très judicieux quant aux formations », a ajouté le ministre, appelant l’opposition à ne pas « ridiculiser » les formations générales. Chaque organisme public doit consentir 1 % de son budget pour des activités de formation, a rappelé M. Bolduc.
« Comme ministre, on va faire une vérification, a spécifié Yves Bolduc. Je ne veux pas faire de commentaires sur des formations particulières. On a le titre dans le Journal, mais ce n’est probablement pas le type de formation où les gens ne parlent pas pendant un certain temps. Ce qu’on me dit, c’est tout simplement que les gens n’avaient pas accès à la télévision et aux différents outils. »